J’aime bien l’optimisme de ce message. Face à la grandeur du paysage, à l’ampleur du projet architectural, faut être bien dans sa vie pour crier “vive moi” au milieu de tant de beauté. Il y a d’autres coins de cette baraque où un tel message sonnerait plutôt comme un combat d’arrière-garde, voir un appel au secours.
J’aime bien l’optimisme de ce message. Face à la grandeur du paysage, à l’ampleur du projet architectural, faut être bien dans sa vie pour crier “vive moi” au milieu de tant de beauté. Il y a d’autres coins de cette baraque où un tel message sonnerait plutôt comme un combat d’arrière-garde, voir un appel au secours.
J’avais interprété ça comme un cri de victoire après avoir monté toutes les marches.