Tout est parti d’un dilemme qui me tenaillait depuis des mois. Comment découvrir d’autres continents à l’heure où il faudrait se restreindre à deux tonnes de CO2 par an ? Comment critiquer la folle industrie du tourisme de masse, tout en prenant soi-même l’avion pour s’ébahir devant la grandeur de l’Amazonie et s’offrir un vertige en haut d’un sommet andin ? (…)

Bien que ce mode de transport requière le privilège d’une très grande flexibilité dans le temps et les destinations, le «co-baturage» peut se pratiquer à peu près partout. La route que j’ai prise ou celle reliant les Canaries aux Antilles en passant par Cap-Vert en 15 jours sont particulièrement empruntées. Mais, régulièrement, des équipages cherchent du monde pour des trajets plus courts, allant du sud de la France aux Baléares ou de la Bretagne aux îles du Ponant. Pour ma part, je compte bien renouveler l’expérience et voguer sous d’autres latitudes, allant un jour peut-être jusqu’à oser la transpacifique – un mois en mer -, du Panama à la Polynésie.

  • Camus (il, lui)
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    41 year ago

    As-tu lu l’article? Toutes les réponses à tes questions s’y trouvent

    • izzent
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      Français
      -2
      edit-2
      1 year ago

      C’était une simple réponse, oui ou non. Vu que tu me pointes vers l’article au lieu de me dire “oui, tout ça est pris en compte”, j’imagine que la réalité n’est pas tout à fait d’accord.

      • Camus (il, lui)
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        Français
        41 year ago

        Oui:

        Plaisanciers ou professionnels convoyant des navires ; la plupart des capitaines cherchent de petites mains pour les assister pendant les manœuvres et, surtout, pour «tenir les quarts». C’est-à-dire veiller au bon fonctionnement du navire pendant que le reste de l’équipage se repose.

        Moins de 48 heures après avoir posté la mienne, j’ai déjà une réponse. Un couple accepte de nous prendre, ma copine et moi, à bord de leur catamaran.

        Après 22 jours de navigation, ponctués d’une courte escale aux Açores et un changement de voilier, me voilà arrivé à Gibraltar, au sud de l’Espagne. La traversée ne m’a coûté que 330 euros, soit 15 euros par jour, essentiellement pour les frais de nourriture et d’entrée dans les ports.

        • izzent
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          Français
          -4
          edit-2
          1 year ago

          C’est quand même pas standard de faire ça… Pardonne moi pour mon erreur alors

          • Camus (il, lui)
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            fedilink
            Français
            31 year ago

            Apparemment c’est plus fréquent qu’il n’y paraît. Pas de soucis, bonne journée!