• Camus (il, lui)OP
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      fedilink
      61 year ago

      Si c’est le prix à payer pour avoir plus de visibilité sur le Fedivers (et surtout prouver que c’est utilisable par le grand public), ça me semble un compromis acceptable.

    • @Saezher
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      41 year ago

      France info est quand même plutôt factuel dans son service écrit .

      Je ne regarde pas la télé ni écoute la radio, mais pour un media maintream ++, ca a le mérite de ne pas être dans une propagande grossière, et c’est assez “neutre”.

      En vrac : Pas de diabolisation des écolos Pas de défense des flics a problème Rappels réguliers des soucis énergétiques Etc

      Alors oui ça ne dénonce pas au vitriol, et Macron n’est pas égratigné mais je trouve que c’est assez clean (pour un media de masse) sur l’approche des problématiques. (D’ailleurs , il ne faut pas trop regarder les commentaires, car alors on se rend compte du gouffre abyssal entre la qualité raisonnable des articles et le cerveau imbibé des Jacky qui parcourent le site).

      PS: certains fact checking sont efficaces par ailleurs

      • Homère D'Allaure
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        fedilink
        01 year ago

        @Saezher Pas d’accord. Ce qui arrive cette saison à France Inter est déjà arrivé il y a plusieurs années à France info. Ce n’est pas BFM, c’est plus subtil et plus macroniste. Imagine quand le Pen sera au pouvoir… Avec un bel outil comme ça, et le mode d’emploi qui va avec

    • Eghone
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      fedilink
      11 year ago

      En général c’est le procès inverse qui est fait. Il est régulièrement reproché à Radio France d’être trop à gauche.

      • Homère D'Allaure
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        fedilink
        -21 year ago

        @Eghone Sérieux ?
        A part les belges qui faisaient l’épouvantail sur France Inter… Regarde les invités de la matinale de France Cul, l’attitude de Erner, Idem sur France Inter… Les biais pro business systématiques de France info …ils sont d’extrême gauche, tendance Enthoven. Répéter que la radio publique est de gauche évite qu’on se rende compte que le pouvoir reprend le contrôle des contenus de façon bien plus subtile que du temps de l’ORTF