• Camus [il/lui]OP
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    142 months ago

    Retailleau en quelque mots, tirés de sa page wikipédia :

    Qualifié régulièrement de « libéral conservateur », il prône de grandes réformes sur le travail, l’État et le modèle social français, et en appelle à « une politique de civilisation » contre l’islamisme ou le wokisme. Partisan d’une réponse plus ferme en matière de sécurité, Bruno Retailleau défend une « révolution pénale » comprenant des mesures telles que l’instauration de courtes peines de prison dès les premiers actes délinquants, l’abaissement de la majorité pénale à 16 ans et la suspension des aides sociales et familiales pour les parents n’assumant pas leurs responsabilités éducatives. Attaché à la souveraineté française, il dénonce régulièrement l’emprise des cours jurisprudentielles européennes comme la CEDH, s’est opposé au Traité de Lisbonne et refuse toute fuite en avant fédéraliste de l’Union européenne.

    En 2016, il s’oppose à la proposition de loi contre le délit d’entrave numérique à l’IVG, soutenant une entrave à la liberté d’expression107. Par corollaire, il s’oppose à l’inscription en 2024 de l’interruption volontaire de grossesse en tant que liberté dans la Constitution

    En 2019, il propose de « supprimer les aides sociales » aux femmes « récidivistes » portant le voile intégral. Il se prononce par ailleurs pour le retour à la semaine de travail de 39 heures pour les salariés.

    En décembre 2019, estimant que « le droit de grève n’est pas illimité », il propose d’instaurer un service minimum dans les transports par la réquisition si nécessaire.

    En mars 2020, quelques jours après le début du confinement, Bruno Retailleau appelle à utiliser la chloroquine promue par le professeur Didier Raoult face à l’épidémie de Covid-19, estimant qu’« elle a un avantage, elle n’est pas chère » et que « de toute façon, qu’est-ce qu’on risque ? Les gens meurent »

    Bruno Retailleau s’oppose au mariage entre personnes de même sexe. Il estime que cette mesure « est le cheval de Troie de la PMA et de la GPA »

    Fin 2022, après l’assassinat d’une jeune fille par une ressortissante étrangère, connu médiatiquement comme « l’affaire Lola », il propose l’instauration d’un délit de « non-assistance à Français en danger ».