J’ai trouvé ça dans une communauté de programmeurs qui faisaient des blagues de langages de programmation.
Je trouve que ça reflète bien la situation du bilinguisme anglais français au Canada.
J’ai trouvé ça dans une communauté de programmeurs qui faisaient des blagues de langages de programmation.
Je trouve que ça reflète bien la situation du bilinguisme anglais français au Canada.
Peut-être pas. Ça dépend. Si les pays européens n’avaient pas colonisé la terre toute entière, peut-être nous n’aurions pas de langue commune. On ne le saura jamais.
Mais ce n’est pas le message qu’on tente de véhiculer ici. C’est plutôt que les unilingues anglophones ne font jamais l’effort d’apprendre une autre langue dans le but d’accommoder les autres. Mais, il faut toujours les accommoder eux. C’est très inégal. Et c’est particulièrement le cas au Canada où les deux langues sont officielles, mais on impose quand même l’anglais aux francophones, mais pas l’inverse.
Le résultat est qu’on a tout un groupe ethno-culturel du Canada qui se retrouve affecté et qui diminue de plus en plus à cause de l’assimilation dans la culture monolithique anglaise.
Oups, j’avais raté cette lecture du Post. Je ne voyais que l’aspect de la supériorité du personnage qui pouvait maîtriser plus d’une langue. En fait, nous les Québécois avons effectivement cette supériorité par rapport aux unilingues. Anyway…
J’aime pas ce mot “supériorité”. Je dirais plutôt, avantage.
Peut-être que le mot supérieur est mal choisi pour le cas présent mais il y a des situations où des êtres humains sont clairement supérieurs à d’autres. Nous vivons à une époque où il est difficile de dire les choses : on ne peut plus dire qu’un aveugle est un aveugle ou qu’un sourd est un sourd. On ne peut plus dire qu’un pauvre est un pauvre, voir chat un chat. Je crois qu’il s’agit d’un manque de maturité et que l’on s’illusionne à trouver des euphémismes pour tourner autour du pot au lieu de dire les vraies choses. À cet égard, notre société entière et en particulier certains individus faibles qui la composent sont dans une dérive déplorable.
C’est jusque d’utiliser la “supériorité” ou “supérieur” dans le contexte d’une groupe ethnique ou d’une race ça fait un peu… J’sais pas… Malaisant?
C’est vrai qu’il y a cette aspect là aussi et ça non plus je ne l’avais pas vu. En fait mon côté social est sous développé … j’ai plutôt développé le côté scientifique ou technique.
Hahah c’est pas grave. Des fois on s’en rend pas compte tout suite.