cross-posted from: https://jlai.lu/post/434712

[Extrait de l’article]
« L’équipe tient car on n’est pas parti de grands principes. Sur le salaire, par exemple, on a fait un travail avec le Réseau salariat [une association d’éducation populaire] pour comprendre les enjeux des différences de salaires, et c’est au bout de ce processus qu’on a choisi l’égalité des salaires », précise Benjamin. Cette égalité salariale permet aussi de pouvoir financer 17 postes grâce aux actes de soin [2] Aujourd’hui, les 17 salarié·es du centre touchent environ 1.800 euros nets par mois pour un « équivalent temps plein ».
[…]
Cinq médecins généralistes, une infirmière, deux kinés, deux accompagnants sociaux, une médiatrice, trois personnes à l’accueil, une accompagnante à la vie relationnelle, deux coordinat·rices administrati·ves, un·e orthophoniste.

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    fedilink
    21 year ago

    A travail égal, payer des gens différemment parcequ’ils ont eu la possibilité et la capacité d’apprendre en université n’a pas trop de sens non plus.

    • Zoz
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      4
      edit-2
      1 year ago

      Le truc, c’est qu’entre un infirmier qui a besoin de 3 ans d’études, et un médecin qui en as besoin de minimum 9, ça fait un écart de 6 années de salaires et de cotisation entre le premier et le deuxième. Cette méthode ne supprime pas un écart, elle l’inverse