Les méthodes des établissements privés, arrivés en France au début des années 2000 et boostés par des subventions publiques, sont de plus en plus critiquées.
J’apporte ma nuance : mon fils est en crèche privée (un des grands groupes cités dans l’article), il y est très bien, pas de turnover, repas suffisants, tout est propre, il y a apprend plein de choses. Donc toutes les crèches privées ne sont pas de mauvaises crèches. Et il y a des crèches municipales qui ont mauvaise réputation parmi mes collègues parents. ¯_(ツ)_/¯
C’est sûr que privé ≠ mauvais. Et que ce soit privé ou public, ça dépend beaucoup de la direction. Néanmoins c’est vrai que, chez les professionnel·le·s, on évite généralement le privé… et c’est pas pour rien.
J’apporte ma nuance : mon fils est en crèche privée (un des grands groupes cités dans l’article), il y est très bien, pas de turnover, repas suffisants, tout est propre, il y a apprend plein de choses. Donc toutes les crèches privées ne sont pas de mauvaises crèches. Et il y a des crèches municipales qui ont mauvaise réputation parmi mes collègues parents. ¯_(ツ)_/¯
C’est sûr que privé ≠ mauvais. Et que ce soit privé ou public, ça dépend beaucoup de la direction. Néanmoins c’est vrai que, chez les professionnel·le·s, on évite généralement le privé… et c’est pas pour rien.