TRIBUNE. Le marketing et la publicité qui ciblent les enfants pour les produits trop sucrés, trop gras ou trop salés posent un réel problème de santé publique, mais le gouvernement se contente dans ce domaine des promesses des industriels, déplore, dans une tribune au « Monde », un collectif de scientifiques et de responsables associatifs.
Autant oui la pub c’est très chiant, autant faut voir ce qu’on appelle pub.
Un truc con mais mettons qu’un nouveau restaurant ouvre dans le quartier, pour se faire connaître il faut bien qu’à la base il parle un peu de lui
Même chose pour une compagnie d’assurances, elle crée un nouveau truc machin pour te prendre de l’argent mais moins cher que les autres, si tu le sais pas tu changes pas pour un truc peut être plus avantageux…
Ce qui est chiant c’est pas la pub, c’est la chiée de pub qu’on se prend a la gueule
Personne ne va au resto après une pub. C’est les publicitaires qui font croire ça. C’est le bouche à oreilles qui fait le boulot, car il s’agit de mécanismes de confiance. Même un quidam qui te dit qu’un resto est bon tu le croira plus que n’importe quel panneau à l’esthétique léchée.
Puis les compagnies d’assurances… Le fait même qu’elles existent est questionable.
Ici on parle de pubs qui visent spécifiquement les enfants dans le but de leur vendre de la merde et dont les répercussions économiques et sociales sur la société sont désastreuses à long terme.
On doit pouvoir se mettre d’accord que ce cas précis, la pub n’est pas acceptable.
Où sinon on mets une grosse pastille noire directement sur leurs produits. Ça diminue les ventes parce que les enfants comprennent qu’il y a un problème avec ses produits. C’est une sorte de contre pub.
Où sinon on mets une grosse pastille noire directement sur leurs produits. Ça diminue les ventes parce que les enfants comprennent qu’il y a un problème avec ses produits. C’est une sorte de contre pub.
Je n’ai plus le lien sous la main, mais on avait discuté du Mexique il y a quelques semaines
Où sinon on mets une grosse pastille noire directement sur leurs produits. Ça diminue les ventes parce que les enfants comprennent qu’il y a un problème avec ses produits. C’est une sorte de contre pub.
À mon avis, il faudrait aussi interdire les emballages colorés destinés à attirer les enfants, notamment ceux qui représentent des personnages mignons. Une sorte de « paquet de bonbons neutre », comme on a fait pour les cigarettes.
Un truc con mais mettons qu’un nouveau restaurant ouvre dans le quartier, pour se faire connaître il faut bien qu’à la base il parle un peu de lui
Alors je vois souvent cet exemple défendu pour défendre la pub et je dois dire que dans la vraie vie, ça ne m’est jamais arrivé. Je veux dire: jamais, pas une seule fois. J’apprends qu’un restau vient d’ouvrir si je passe devant ou si on m’en parle. Et bien sur, c’est pas les restaux locaux qui font de la pub à la télé, la radio, sur internet…
Même chose pour une compagnie d’assurances, elle crée un nouveau truc machin pour te prendre de l’argent mais moins cher que les autres, si tu le sais pas tu changes pas pour un truc peut être plus avantageux…
En fait si: je peux trouver l’info quand je la cherche. Je m’intéresse aux compagnies (mutuelles en fait, le système en France est principalement à but non lucratif). Qu’ils fassent leur marketing pour être référencé correctement dans les classements que je consulte les 0.00001% de ma vie où la question m’intéresse et qu’ils me foutent la paix le reste du temps. Et la pub étant généralement mensongère, on n’apprend généralement qu’une version très déformée de la réalité.
On n’a pas besoin de pub pour avoir des infos, c’est un mensonge. Les informations, on les a par les médias d’information. Le bulletin de la commune me dit si un resto a ouvert, m’a informé de leur mutuelle communale. Il y a des sites qui comparent les prix des mutuelles et la difficulté à trouver ces infos chez les concernés montre que le partage d’infos est pas exactement leur but.
J’ajouterais que pour quiconque prétend croire en l’efficacité du marché, le but de la pub est de le fausser: de forcer des clients à préférer un produit moins bon ou trop cher. Je serais curieux qu’on étudie le nombre de points de croissance que cette inefficacité devrait en théorie nous couter.
Autant oui la pub c’est très chiant, autant faut voir ce qu’on appelle pub.
Un truc con mais mettons qu’un nouveau restaurant ouvre dans le quartier, pour se faire connaître il faut bien qu’à la base il parle un peu de lui Même chose pour une compagnie d’assurances, elle crée un nouveau truc machin pour te prendre de l’argent mais moins cher que les autres, si tu le sais pas tu changes pas pour un truc peut être plus avantageux…
Ce qui est chiant c’est pas la pub, c’est la chiée de pub qu’on se prend a la gueule
Personne ne va au resto après une pub. C’est les publicitaires qui font croire ça. C’est le bouche à oreilles qui fait le boulot, car il s’agit de mécanismes de confiance. Même un quidam qui te dit qu’un resto est bon tu le croira plus que n’importe quel panneau à l’esthétique léchée.
Puis les compagnies d’assurances… Le fait même qu’elles existent est questionable.
Ici on parle de pubs qui visent spécifiquement les enfants dans le but de leur vendre de la merde et dont les répercussions économiques et sociales sur la société sont désastreuses à long terme.
On doit pouvoir se mettre d’accord que ce cas précis, la pub n’est pas acceptable.
Où sinon on mets une grosse pastille noire directement sur leurs produits. Ça diminue les ventes parce que les enfants comprennent qu’il y a un problème avec ses produits. C’est une sorte de contre pub.
Je n’ai plus le lien sous la main, mais on avait discuté du Mexique il y a quelques semaines
https://français.es/mexique-un-nouvel-etiquetage-alimentaire-vise-a-reduire-les-taux-eleves-dobesite/
Édit : j’ai retrouvé le fil : https://jlai.lu/post/842412
À mon avis, il faudrait aussi interdire les emballages colorés destinés à attirer les enfants, notamment ceux qui représentent des personnages mignons. Une sorte de « paquet de bonbons neutre », comme on a fait pour les cigarettes.
Et changer le générique :
Avec Frosties, tu f’ra un infarctus-euh!
Car Frosties c’est plein d’saloperies !
FrOsTiEs2Kelogz !
Pour finir comme papa !
J’aime
Ah bah dans le cas de la pub pour les gosses effectivement on est d’accord ça devrait être non, juste non.
Après j’ai pris des exemples au pif, j’y connais rien en pub pour être franc
Alors je vois souvent cet exemple défendu pour défendre la pub et je dois dire que dans la vraie vie, ça ne m’est jamais arrivé. Je veux dire: jamais, pas une seule fois. J’apprends qu’un restau vient d’ouvrir si je passe devant ou si on m’en parle. Et bien sur, c’est pas les restaux locaux qui font de la pub à la télé, la radio, sur internet…
En fait si: je peux trouver l’info quand je la cherche. Je m’intéresse aux compagnies (mutuelles en fait, le système en France est principalement à but non lucratif). Qu’ils fassent leur marketing pour être référencé correctement dans les classements que je consulte les 0.00001% de ma vie où la question m’intéresse et qu’ils me foutent la paix le reste du temps. Et la pub étant généralement mensongère, on n’apprend généralement qu’une version très déformée de la réalité.
On n’a pas besoin de pub pour avoir des infos, c’est un mensonge. Les informations, on les a par les médias d’information. Le bulletin de la commune me dit si un resto a ouvert, m’a informé de leur mutuelle communale. Il y a des sites qui comparent les prix des mutuelles et la difficulté à trouver ces infos chez les concernés montre que le partage d’infos est pas exactement leur but.
J’ajouterais que pour quiconque prétend croire en l’efficacité du marché, le but de la pub est de le fausser: de forcer des clients à préférer un produit moins bon ou trop cher. Je serais curieux qu’on étudie le nombre de points de croissance que cette inefficacité devrait en théorie nous couter.