Le Rafale F5 a aujourd’hui la priorité sur le SCAF ! C’est en substance la déclaration faite par Eric Trappier, le PDG de Dassault Aviation, lors de son passage sur la chaine d’information économique française BFM Business.
Ça pose la question de la furtivité. Le Rafale a certes une silhouette réduite par rapport aux appareils de génération précédente mais cet avantage est anhililé par les armes et bidons sous les ailes. Si le Rafale F5 devient un engin qui reste en retrait et qui pilote des drones qui eux sont furtifs, ce serait une sorte d’entre-deux.
La pluspart des projets européens aéronautiques ont capoté à cause de l’Allemagne qui s’en fout de faire ses avions. Ils n’ont quasiment aucune force déployée. Leurs dernières demande sur le dons des brevets de Dassault étaient totalement lunaire.
À l’inverse, la France en a besoin si elle veut rester crédible militairement.
Ils ne veulent pas faire, ils s’en foutent. Ça va nous coûter un bras, on va faire le dos rond aux prétromonarchies pour les vendre, mais au moins on aura un avion…