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Et si on oubliait nos déchets nucléaires ? Derrière cette question, la problématique de la mémoire, celle de la transmission de données à travers le temps, mais aussi d’un choix de société que l’on peut mettre en perspective avec d’autres, comme la gestion des autres déchets dangereux mais aussi ménagers.
Cette vidéo a été réalisée en partenariat financé avec l’Andra, le concours de ma famille et l’assistance bien-aimable de plusieurs amis notamment pour la mise à disposition de lieux de tournage.
Pas encore regardé la vidéo, mais il me semblait qu’une solution plutôt sûr était de les enfouir dans un sol géologiquement stable à 400m de profondeur.
Jancovici mentionnait également qu’une réaction nucléaire pouvait également se produire naturellement. C’est le cas dans une région d’Afrique où l’eau s’est infiltrée dans le sol jusqu’à un gisement d’uranium.
La vidéo traite surtout de l’aspect de la mémoire des lieux de stockage des déchets (nucléaires, mais pas que). Et peu des solutions de stockage des déchets radioactifs.
A cette époque la terre n’était pas peuplée donc pas source de danger
Cet endroit existe toujours. Et l’endroit à été peuplé pendant environ l’histoire de l’humanité
Si vous parlez d’Oklo (je ne connais pas d’autre reacteur naturel) le phénomène s’est déroulé il y a 2 milliards d’année.
L’idée c’est que les déchets radioactifs étaient toujours là quand on les a trouvé, et y avait personne qui était mort autour a cause de ça.
Pas de peuplement, enfouissement sous des centaines de mètres d’un uranium aujourd’hui plus pauvre que dans les mines en activitées. Comment cela pourrait-il constituer une quelconque mortalité ? Les études précisent bien qu’il n’y a pas de parallèle direct à établir avec le stockage en profondeur contemporain. Stockage qui est en l’etat un laboratoire. Celui-ci justifie-t-il les coûts engendré par l’enfouissement ? L’Andra a ma connaissent n’a pas planché sur les alternatives de surface, les solutions alternatives n’ayant pas été inconsidérées. Peut-être à tort.
C’est précisément ce dont parle la vidéo